« La Musique du Temps® » - Les Cabinotiers Symphonia Grande sonnerie – La Sixième symphonie

Communiqué de presse

« La Musique du Temps® » - Les Cabinotiers Symphonia Grande sonnerie – La Sixième symphonie

Cette pièce unique, hommage à la grande tradition des montres « musicales » de Vacheron Constantin, intègre un mouvement à grande et petite sonneries avec mécanisme de répétition minutes. Le boitier fait honneur au métier d’art de la gravure main avec son motif représentant une partition de la Sixième symphonie de Beethoven.

Les montres à grande sonnerie

Les montres à grande sonnerie forment une classe à part au sein des garde-temps musicaux pour leur complexité. C’est seulement en 1992 qu’est apparu le premier modèle du genre en montre de poignet. Depuis, la maîtrise de ces pièces qui sonnent l’heure et les quarts au passage – avec répétition de l’heure avant chaque quart en mode grande sonnerie et sans répétition en mode petite sonnerie – ne s’est guère répandue tant les exigences de conception sont élevées. La réalisation demande en effet une conception intégrée du mouvement qui doit en outre prendre en compte plusieurs spécificités propres à ces mécanismes complexes, à commencer par les questions liées à la sécurité de son fonctionnement, toute interférence entre les différentes fonctions étant de nature à endommager le calibre. La gestion de l’énergie représente également un paramètre incontournable en sachant qu’une grande sonnerie est sollicitée 96 fois par vingt-quatre heures pour un total de 912 frappes des marteaux sur les timbres de la montre. Quant à la production de sons, elle exige une grande virtuosité technique et musicale pour que les séquences soient distinctement audibles et d’une mélodieuse clarté.
 

Deux siècles d’expertise

Vacheron Constantin maîtrise l’ensemble de ces techniques depuis plus de deux siècles. Les archives de la Manufacture font d’ailleurs état d’une première montre de poche à grande et petite sonneries et répétition minutes datant de 1817. Les registres de la manufacture font également de nombreuses références de garde-temps à sonneries, souvent associées à d’autres complications ou à des fonctions astronomiques. Avec l’avènement de la montre-bracelet, l’expertise de Vacheron Constantin dans les montres musicales a continué de s’exprimer, notamment avec des pièces extra-plates. Jusqu’en 2017, date clé pour la Maison qui présente la montre Les Cabinotiers Symphonia, première montre-bracelet grande sonnerie de l’histoire de Vacheron Constantin dotée du calibre 1860 qui propose également une répétition minutes. C’est ce même mouvement, issu de 10 années de recherche et développement, que l’on retrouve dans Les Cabinotiers Symphonia Grande sonnerie – La Sixième symphonie.
 

Cette pièce unique se caractérise notamment par un cadran orné d’un motif guilloché appelé « vieux panier circulaire » dans un boîtier en or rose 18 carats 5N dont la carrure est minutieusement gravée d’une partition en bas-relief. Cette dernière fait écho à la Sixième symphonie « Pastorale » en Fa majeur de Ludwig van Beethoven gravée à la main sur un fond de feuilles d’olivier, décor inspiré d’une montre de poche « Les Bergers d’Arcadie » réalisée en 1923 appartenant au Patrimoine Vacheron Constantin. Pureté du son, sobriété du cadran uniquement rythmé par une petite seconde et par les deux indicateurs de réserve de marche (l’un pour les sonneries avec aiguille en forme de clé de sol et l’autre pour l’heure) confèrent à cette pièce l’élégance caractéristique de la Maison. La tonalité beige donnée au cadran renforce en outre le classicisme de la pièce, rehaussé par les aiguilles en forme de pomme et la typographie des heures.
 

L’excellence dans le détail

Les Cabinotiers Symphonia Grande sonnerie – La Sixième symphonie répond à une double exigence consistant à réaliser une complication souveraine – 727 composants dans 37 mm de diamètre au terme de 500 heures d’assemblage – qui s’avère aussi simple d’utilisation que parfaitement sécurisée. Le calibre à remontage manuel bidirectionnel doté de deux barillets, offrant 72 heures de réserve de marche pour l’un et 20 heures de charge de sonnerie pour l’autre, est ainsi doté de systèmes de sécurité innovants qui protègent ses mécanismes de sonneries. Ceux-ci sont contrôlés par la lunette pour les grande et petite sonneries et par un poussoir logé dans la couronne pour la répétition minutes. Pour assurer l’enchaînement parfaitement régulier des frappes sur les timbres monoblocs, les maîtres horlogers de Vacheron Constantin ont réussi à supprimer les « quarts fantômes », ces courts silences généralement perceptibles entre la sonnerie des heures et celle des minutes d’une répétition. Par souci d’excellence, le calibre est en outre équipé d’un sautoir de surprise non-traînant, un mécanisme permettant une exacte précision des frappes aux heures pleines et aux quarts. Chef-d’œuvre d’élégance et de complexité, cette pièce Les Cabinotiers Symphonia Grande sonnerie – La sixième symphonie laisse admirer les subtilités de son mouvement à sonneries par le fond saphir du boîtier.
 

Les Cabinotiers : des créations uniques

Dans l’univers Vacheron Constantin, Les Cabinotiers représentent un département à part entière dédié à la personnalisation des pièces et aux créations uniques. Cette tradition remonte au XVIIIe siècle, époque où l’on appelait « cabinotiers » les maîtres horlogers qui exerçaient au sein d’ateliers baignés de lumière, dits « cabinets », situés aux deniers étages des édifices genevois. Entre les mains de ces artisans érudits, ouverts aux idées nouvelles du Siècle des Lumières, naissaient des garde-temps exceptionnels, inspirés d’astronomie, de génie mécaniques et des arts. Ce savoir-faire, qui constitue la grande tradition horlogère genevoise, coule pour ainsi dire dans les veines de Vacheron Constantin depuis 1755.

Vacheron Constantin et les montres à sonnerie

Les montres à sonnerie occupent une place à part dans les complications horlogères. Depuis plus de deux siècles, ces mécaniques complexes sont mises à l’honneur par Vacheron Constantin. Aujourd’hui, le département Les Cabinotiers a choisi de leur rendre hommage au travers de pièces uniques regroupées sous la thématique « La Musique du temps® ».

Nés du besoin d’avoir l’heure dans l’obscurité à une époque où l’on s’éclairait à la bougie, les montres à « signal sonore » ont pris des formes diverses : à répétitions (indication de l’heure, voire des quarts et des minutes à la demande), à sonnerie (indication de l’heure et des quarts au passage), à alarme (sonnerie programmable). Si chacune de ces complications a ses particularités, toutes ont en commun d’associer une mécanique intégrée et complexe à la bienfacture d’un instrument de musique en termes de résonnance, d’acoustique et d’harmonique. Avec un boîtier de montre équipé de son mouvement complexe comme seul relais musical, ces réalisations représentent de magnifiques performances de miniaturisation.

Chez Vacheron Constantin, la première mention d’une pièce à sonnerie remonte à 1806 : une montre de poche en or à répétition minutes inscrite par Jacques-Barthélemy, petit-fils du fondateur, dans le tout premier registre de production conservé au sein des archives de la maison. Depuis cette date, les montres à sonnerie ou à répétition font partie de l’héritage de la manufacture, enrichi au fil des décennies.
 

Une empreinte sonore certifiée par Abbey Road Studios

Univers sonore et musique ont toujours eu leur place au sein des partenariats mis en place par la Maison. Le dernier en date a été établi avec une institution du monde de la musique : les Studios Abbey Road. Un nom intimement associé à des artistes iconiques telles que The Beatles, Adele ou encore Oasis, avec lequel Vacheron Constantin a lancé sa collection Fiftysix®, soutenue par la campagne « One of not Many ». Cette collaboration a également été mise à profit pour « La Musique du Temps® » : Vacheron Constantin a confié aux studios d’Abbey Road l’enregistrement sonore unique de chacune des pièces.

« Au-delà d’un rapprochement très fort de valeurs, les Studios Abbey Road et Vacheron Constantin travaillent de manière étroite sur des collaborations créatives, regroupant créations de contenus et échanges d’expertises. Confier la réalisation des empreintes sonores de nos pièces à un expert internationalement reconnu dans l’univers de l’enregistrement fait partie intégrante des collaborations mises en place », explique Laurent Perves, CMO de Vacheron Constantin. Pour la première fois, les montres à répétition issues de l’assortiment « La Musique du temps® », ont donc une empreinte sonore unique, enregistrée et certifiée par les Studios Abbey Road. « L’opportunité de capturer l’identité sonore de ces incroyables garde-temps est un privilège, explique Jeremy Huffelmann, Head of Partnerships des Studios Abbey Road. Ces enregistrements résument à la perfection le partage de valeurs telles que le savoir-faire, l’expertise et l’excellence qui définissent notre collaboration, tout en préservant la personnalité de ces pièces. »
 

Résumé

C’est seulement en 1992 qu’est apparue la première grande sonnerie en montre bracelet. Depuis, la maîtrise de ces pièces qui sonnent l’heure et les quarts au passage – avec répétition de l’heure avant chaque quart en mode grande sonnerie et sans répétition en mode petite sonnerie – ne s’est guère répandue tant les exigences de conception sont élevées. Les archives Vacheron Constantin font état de tels modèles en montre de poche dès le début du XIXe siècle. La première montre-bracelet grande sonnerie créée par la Maison a quant à elle été dévoilée en 2017, équipée du calibre 1860 qui propose également une répétition minutes. On retrouve ce même mouvement de 727 composants dans la montre Les Cabinotiers Symphonia Grande sonnerie – La Sixième symphonie dont le boîtier en or rose 18 carats 5N est minutieusement gravé d’une partition en bas-relief. Celle-ci rend hommage à la Sixième symphonie « Pastorale » en Fa majeur de Ludwig van Beethoven, gravée à la main sur un fond de feuilles d’olivier, décor inspiré d’une montre de poche « Les Bergers d’Arcadie » réalisée en 1923 appartenant au Patrimoine Vacheron Constantin.