« La Musique du Temps » - Les Cabinotiers Répétition minutes ultra-plate – Une note romantique

Communiqué de presse

« La Musique du Temps » - Les Cabinotiers Répétition minutes ultra-plate – Une note romantique

La pièce unique Les Cabinotiers Répétition minutes ultra-plate – Une note romantique est rythmée par le calibre 1731, mouvement ultra-plat à l’acoustique soigneusement étudiée. Son style classique à l’allure très épurée, agrémenté d’une typographie originale des chiffres arabes sur un cadran en émail Grand Feu, fait de cette pièce, au diamètre de 41 mm, un garde-temps de connaisseurs : seul le verrou d’armage de la répétition minutes laisse devenir une montre à complication.

Retour sur l’histoire du calibre 1731

La principale caractéristique du calibre 1731 (un clin d’œil à l’année de naissance de Jean-Marc Vacheron) tient à sa finesse extrême pour un mouvement à répétition minutes. Avec une hauteur de seulement 3,90 mm, il est à peine plus épais que son prédécesseur, le calibre 1755, datant de 1992 du fait de son impressionnante réserve de marche de 65 heures. Quatre ans ont été nécessaires pour résoudre cette équation des plus complexes : créer un mouvement à répétition minutes, alliant finesse, pureté du son, esthétique, fiabilité et robustesse. Les prouesses techniques ne s’arrêtent toutefois pas au défi de l’ultra-plat, puisque le calibre 1731 est doté d’un dispositif des plus ingénieux développé en 2007 pour le mouvement 2755 – autre membre de cette famille exclusive des calibres à répétition minutes - un régulateur de sonnerie volant totalement silencieux, contrairement aux régulateurs à ancre classiques, avec pour rôle d’équilibrer la cadence à laquelle les marteaux frappent les timbres.
 

L’acoustique, véritable raison d’être d’une répétition minutes, a fait l’objet de toutes les attentions. Pour rendre un son cristallin et parfaitement harmonieux, différents choix techniques ont été opérés. Ainsi, les timbres sont non seulement liés à la carrure pour amplifier le son, mais également superposés en hauteur, plutôt que d’être alignés côte à côte. Le boîtier en or rose est façonné de manière à ne former qu’un avec le mouvement, dans une composition qui intègre des paramètres aussi subtils que la circulation de l’air entre le mécanisme et la boîte pour une propagation optimale des notes. Le boîtier a en outre été construit sans joint pour que les éléments puissent interagir métal contre métal et ainsi libérer une meilleure amplitude du son.

Un classicisme déroutant

Les Cabinotiers Répétition minutes ultra-plate – Une note romantique se présente dans un boîtier en or rose 18 carats 5N de 41 mm de diamètre pour seulement 8,5 mm d’épaisseur. Cette pièce unique arbore un cadran en émail Grand Feu, l’une des techniques les plus complexes d’émaillage, dont la couleur « coquille d’œuf » se marie parfaitement à l’esthétique du modèle. D’un classicisme éprouvé, inspiré de la référence 4261 – une montre à répétition minutes Vacheron Constantin datant de 1941 d’une grande sobriété –, ce modèle est toutefois pimenté d’une typographie originale qui comme une partition de musique rythme le temps avec sa minuterie et ses chiffres arabes penchés peints en émail noir. De fines aiguilles type pomme complètent l’apparence « romantique » de cette pièce proposée sur un bracelet en cuir d’alligator brun. Seule la présence d’un verrou d’armage sur le flanc gauche du boîtier laisse deviner la complexité d’une répétition minutes embarquée dans cette montre aux lignes pures. Une montre pour connaisseurs.
 

Les Cabinotiers : des créations uniques

Dans l’univers Vacheron Constantin, Les Cabinotiers représentent un département à part entière dédié à la personnalisation des pièces et aux créations uniques. Cette tradition remonte au XVIIIe siècle, époque où l’on appelait « cabinotiers » les maîtres horlogers qui exerçaient au sein d’ateliers baignés de lumière, dits « cabinets », situés aux deniers étages des édifices genevois. Entre les mains de ces artisans érudits, ouverts aux idées nouvelles du Siècle des Lumières, naissaient des garde-temps exceptionnels, inspirés d’astronomie, de génie mécanique et des arts. Ce savoir-faire, qui constitue la grande tradition horlogère genevoise, coule pour ainsi dire dans les veines de Vacheron Constantin depuis 1755.
 

Vacheron Constantin et les montres à sonnerie

Les montres à sonnerie occupent une place à part dans les complications horlogères. Depuis plus de deux siècles, ces mécaniques complexes sont mises à l’honneur par Vacheron Constantin. Aujourd’hui, le département Les Cabinotiers a choisi de leur rendre hommage au travers de pièces uniques regroupées sous la thématique « La Musique du temps ».

Nés du besoin d’avoir l’heure dans l’obscurité à une époque où l’on s’éclairait à la bougie, les montres à « signal sonore » ont pris des formes diverses : à répétitions (indication de l’heure, voire des quarts et des minutes à la demande), à sonnerie (indication de l’heure et des quarts au passage), à alarme (sonnerie programmable). Si chacune de ces complications a ses particularités, toutes ont en commun d’associer une mécanique intégrée et complexe à la bienfacture d’un instrument de musique en termes de résonnance, d’acoustique et d’harmonique. Avec un boîtier de montre équipé de son mouvement complexe comme seul relais musical, ces réalisations représentent de magnifiques performances de miniaturisation.

Chez Vacheron Constantin, la première mention d’une pièce à sonnerie remonte à 1806 : une montre de poche en or à répétition minutes inscrite par Jacques- Barthélemy, petit-fils du fondateur, dans le tout premier registre de production conservé au sein des archives de la maison. Depuis cette date, les montres à sonnerie ou à répétition font partie de l’héritage de la manufacture, enrichi au fil des décennies.
 

Une empreinte sonore certifiée par Abbey Road Studios

Univers sonore et musique ont toujours eu leur place au sein des partenariats mis en place par la Maison. Le dernier en date a été établi avec une institution du monde de la musique : les Studios Abbey Road. Un nom intimement associé aux Beatles, Pink Floyd ou encore Oasis, avec lequel Vacheron Constantin a lancé sa collection Fiftysix, soutenue par la campagne « One of not Many ». Cette collaboration a également été mise à profit pour « La Musique du Temps » : Vacheron Constantin a confié aux studios d’Abbey Road l’enregistrement sonore de chacune des pièces.

« Au-delà d’un rapprochement très fort de valeurs, les Studios Abbey Road et Vacheron Constantin travaillent de manière étroite sur des collaborations créatives, regroupant créations de contenus et échanges d’expertises. Confier la réalisation des empreintes sonores de nos pièces à un expert internationalement reconnu dans l’univers de l’enregistrement fait partie intégrante des collaborations mises en place », explique Laurent Perves, CMO de Vacheron Constantin. Pour la première fois, les montres à répétition issues de l’assortiment La Musique du temps, ont donc une empreinte sonore unique, enregistrée et certifiée par les Studios Abbey Road. « L’opportunité de capturer la personnalité sonore de ces incroyables garde-temps est un privilège, explique Jeremy Huffelmann, Head of Partnerships des Studios Abbey Road. Ces enregistrements résument à la perfection le partage de valeurs telles que le savoir-faire, l’expertise et l’excellence qui définissent notre collaboration, tout en préservant la personnalité de ces pièces. ».

Résumé

Cette pièce unique embarque le calibre 1731 à répétition minutes ultra-plat avec ses 3,90 mm d’épaisseur. Quatre ans ont été nécessaires pour résoudre cette équation complexe consistant à créer un mouvement à sonnerie alliant finesse, pureté du son, esthétique, fiabilité et robustesse. Pour rendre un son cristallin et parfaitement harmonieux, différents choix techniques ont été opérés. Le boîtier est ainsi façonné de manière à ne former qu’un avec le mouvement, dans une composition qui intègre des paramètres aussi subtils que la circulation de l’air entre le mécanisme et la boîte pour une propagation optimale des notes. La montre se présente dans un boîtier en or rose 18 carats 5N de 41 mm de diamètre pour 8,5 mm d’épaisseur. Elle arbore un cadran en émail Grand Feu, l’une des techniques les plus éprouvantes complexes d’émaillage, dont la couleur coquille d’œuf se marie parfaitement à l’esthétique du modèle. D’un classicisme éprouvé, cette pièce est pimentée d’une typographie originale qui comme une partition de musique rythme le temps avec sa minuterie et ses chiffres arabes penchés peints en émail noir. Des aiguilles type pomme complètent l’apparence « romantique » de la montre proposée sur un bracelet en cuir d’alligator brun. Seul le verrou d’armage sur le flanc gauche du boîtier laisse deviner la complexité d’une répétition minutes embarquée dans cette montre aux lignes pures. Une montre pour connaisseurs.